Nuit folle - bis repetita...
Il faut organiser un Bérangerthon !
Comme vous pourrez le lire sur l’heure indiquée, il est un tard pour écrire. Mais que voulez-vous… Non, non, ce n’est pas l’irrésistible envie d’écrire qui ma tiré du lit ! Pourtant, celui-dont-on-ne-doit-pas-pronocer-le-nom-et-qui-dirige-une-école a pris des mesures pour ne plus occasionner de gêne. Mais la place étant libre, mes compères se sont sentis investis d’une mission : celle de le remplacer. Que voulez-vous, la nature a horreur du vide.
Je profite donc de ce répit pour écrire ce message en direct-live. J’en profite pour supplier monsieur l’Inspecteur, si l’envie lui venait de vouloir lire ce blog, de ne pas me tenir rigueur des erreurs orthographiques (et il y en a eu dans l’article sur la nuit). Oui, oui, « inondé » s’écrit avec un seul N, mais compte-tenu de mon degré « d’inondation », un deuxième N n’était pas de trop…
Bon, je ne vais pas m’étendre davantage sur ma petite personne ; et puis ça ferait un peu « réchauffé ». Mais je pense que la fatigue accumulée va me permettre de surmonter tout ce qui peut-être nuisible.
Je voulais juste vous rappeler que vous pouvez naviguer sur les différents articles publiés en cliquant sur la colonne de droite.
Nous vous donnerons des nouvelles de la journée de mercredi lorsque celle-ci sera terminée, donc vraisemblablement pas avant 21h30.
Je vais de ce pas retourner me coucher. Le petit lait chaud et la lecture devraient m’aider.
J’ai tenté de mettre des photos en ligne, mais mon génie en informatique étant limité…
A demain.
PS: sachez que mes petits camardes ont tout à fait un droit de réponse...
Béranger